Quand on parle des nuisibles de ce monde, on ne peut pas exclure certains magistrats qui se comportent comme de véritables inquisiteurs ! Ces gens ne sont pas des élus du peuple et n’ont aucune légitimité populaire. Et cependant, ils sont amenés à vous juger en vous mettant de lourdes amendes, voire des peines de prison, voire même des peines d’inéligibilité pour de simples paroles que vous auriez été amené à prononcer. Ils peuvent relaxer un criminel, même si cela scandalise tout le monde, uniquement pour flatter leur ego démesuré et montrer à quel point ils sont puissants. C’est une caste d’intouchables. Certains sont corrompus, beaucoup agissent par copinage et idéologie, bien entendu presque tous sont de gauche. Pour devenir magistrat du siège ou juge, même s’il y a de plus en plus de voies d’accès facilitées, il faut en général passer par l’Ecole nationale de la magistrature (ENM) dont le siège est à Bordeaux. Le recrutement a lieu à partir d’un concours très sélectif pour les titulaires d’un master de droit ou d’un diplôme d’IEP. On peut se présenter à ce concours jusqu’à l’âge de 27 ans. A l’issue de la formation, qui dure 31 mois (à l’école, en juridiction et auprès du barreau d’avocat) les jeunes diplômés choisissent leur affectation en fonction de leur classement et des postes disponibles. Après, cela peut aider de faire partie du Syndicat de la magistrature, qui est une structure de juges gauchistes qui s’était distinguée dans la célèbre affaire du Mur des cons, en 2013, où ils insultaient des parents qui, comme moi, ont perdu un enfant dans ces circonstances barbares. C’est comme cela que l’on obtient des idéologues qui libèrent les criminels « par ce qu’ils ont eu une enfance malheureuse », qui n’expulseront pas les migrants parce que la France est généreuse, mais qui n’hésiteront pas à envoyer des patriotes en prison pour avoir osé critiquer le « vivre-ensemble ». Moi je suis bien entendu partisan du vivre-ensemble, MAIS SANS EUX ! Vous remarquerez que très peu de ces juges sont condamnés, quand ils sont pris en flagrant délit. Et ne croyez pas qu’ils soient plus vertueux que les autres, bien au contraire, mais les loups ne se mangent pas entre eux, ce qui explique pourquoi ils arrivent à passer à travers les mailles du filet ! Les magistrats ne peuvent être jugés que par d’autres magistrats sortant du même moule. Donc, lorsqu’un d’entre eux dérape, ses pairs lui pardonnent très facilement. Par contre, si ces mêmes juges sont amenés à vous juger, vous citoyen lambda, vous en prendrez plein la tête, surtout si vous avez été amené à critiquer le système, ou pire le gouvernement, ou l’immigration sauvage qui permet l’invasion de notre pays. Dans ces cas-là, il s’agit bien de gens qui n’ont tué personne, n’ont volé personne, et n’ont violé personne, mais ces juges collabos s’acharnent sur eux, et ces mal-pensants sont régulièrement condamnés. C’est ainsi que ce salopard de logeur musulman qui a mis à l’abri les terroristes des attentats de Paris, au lieu de passer comme il aurait dû aux assises, est passé en correctionnelle. Il a été RELAXÉ en premier instance, mais rejugé en appel, et finalement condamné à quatre ans de prison (pour avoir aider des terroristes qui ont tué 130 personnes, dont ma fille Nathalie). Madame Prévost Desprez, qui a rendu cette relaxe en premier instance, devrait être sanctionnée. Comment peut-on rendre une telle décision, qui s’apparente à une faute professionnelle ? À l’inverse des policiers, qui après s’être fait cracher dessus, avoir subi des doigts d’honneur et des insultes, ont molesté un Afghan sans papiers – et comme ils en avaient marre de ses provocations et de son attitude irrespectueuse, ils l’ont emmené à 30 km de l’endroit où ils l’ont interpellé – ont pris 4 ans de prison ferme, et 18 mois ferme, avec incarcération immédiate ! Hallucinant ! Michel Provenzano, 46 ans, a plus de vingt ans de police, notamment chez les CRS, jamais la moindre faute. Et il prend 4 ans de prison ferme, livré sans doute, dans les prisons françaises, majoritairement musulmanes, à des islamo-racailles qui haïssent les policiers. En réclamant déjà 3 ans de prison contre lui, le procureur, Virginie Tavanti, l’envoyait déjà à la mort, socialement et physiquement. Si l’homme a une famille, des enfants, des prêts à rembourser (et il en a l’âge), et qu’on le colle trois ans en prison, on l’assassine professionnellement, et on tue sa famille socialement. Mais cela sera encore pire ! En dépassant le réquisitoire pourtant hallucinant du procureur, la présidente, Céline Ballerini (je suis de plus en plus convaincu que la féminisation excessive de la justice n’est pas une bonne chose) et ses assesseurs, ont porté l’estocade à ce pauvre policier, et à son camarade. Elle ne peut pas ne pas savoir qu’elle le tue socialement, et qu’elle l’envoie à la mort en livrant, en prison, à des barbares qui haïssent les policiers. 4 ans, et 18 mois, quand des racailles multirécidivistes n’ont jamais été condamnées au bout de vingt délits, souvent violents, et que 100 000 peines de prison ne sont pas effectuées tous les ans. Lors de cette conférence récente, on voit l’exaspération du juge Céline Ballerini, et son aversion des policiers, quand le commissaire Olivier Boisteaux rappelle quelques vérités de bon sens sur l’attente des citoyens, et leur demande protection, en s’appuyant sur les vraies valeurs républicaines. https://www.institutpourlajustice.org/evenements/quels-juges-pour-quelle-justice/ Céline Ballerini, quand elle prend la parole, ose dire, d’entrée, qu’elle est indépendante, et n’a pas de compte à rendre quant aux verdicts qu’elle délivre. Selon elle, les seules explications qu’on pourrait lui demander seraient sur sa façon de travailler ! Et le pire est que son intervention, lors de ce colloque, tourne autour de « Redonner du sens aux peines prononcées ». 4 ans et 18 mois de prison ferme, quel sens cela a, si ce n’est la volonté d’humilier la police et de casser du flic ? A-t-elle seulement condamné une fois à de la prison ferme une racaille islamisée qui aurait insulté ou frappé un policier, pour sa première incartade ? Je suis presque certain de connaître la réponse. Les circonstances atténuantes – les policiers sont insultés, menacés et agressés toute la journée par des racailles et des clandestins relâchés par des juges pourris – c’est bon pour les crapules et les voyous, mais cela ne vaut pas pour les policiers. À remarquer le silence assourdissant de Castaner, de Nunez, qui laissent leurs hommes se faire humilier par la justice, et celui des syndicats de policiers, qui devraient être en première ligne pour défendre leurs collègues, quelle que soit la faute qu’ils aient pu commettre. Donc vous voyez, avec trop de magistrats politisés, il y a bien une justice pour les « étrangers » et une autre bien plus répressive pour les patriotes. C’EST INADMISSIBLE ! Et le bouquet c’est bien évidemment leur chef, notre sinistre Belloubête, qui elle s’ingénie à libérer 10 000 prisonniers, dont 130 djihadistes complètement radicalisés, dont certains ont déjà récidivé ! Ceci pour démontrer que beaucoup trop de magistrats, en prenant ces décisions gauchistes et collabos, mettent en danger les Français et les policiers. Ils agissent toujours dans le sens du vent. Actuellement, le sens du vent, c’est le vivre-ensemble, donc ils agissent dans ce sens-là. Il ne faut surtout pas oublier qu’en 1940, les magistrats ont fait condamner nombre de Résistants, les envoyant le plus souvent à la mort. Apparemment rien n’a changé, à part l’occupant en 1940 c’était les nazis, maintenant ce sont les soldats d’Allah, ce que confirme la formule collabo un journ collabo toujours ! Car il faut bien le reconnaître, le système français est très bien fait pour lutter contre les patriotes ! En ce 8 mai je pense à ces deux policiers détruits, jetés en prison comme des malfrats, mis à mort délibérément par la juge Ballerini et ses assesseurs, avec la complicité du procureur Tavanti. Mais je ne peux pas m’empêcher de penser à mes deux oncles qui se sont battus pour la France. L’un étant mort pour la France, l’autre ayant été déporté à Treblinka. Il s’est évadé onze fois, et a fini Grand Invalide de guerre. Mon papa a été aussi un résistant, mais pas de la fin de la guerre, comme il y en eut beaucoup. C’est peut être de là que me viennent mes qualités de combattant, et mon refus d’accepter la tyrannie, y compris celle de certains juges ! Patrick Jardin